La fabrication du lait commence bien sûr dans les fermes laitières, où la vie des vaches est marquée par les naissances des veaux, les traites quotidiennes et les soins apportés au troupeau. La qualité du lait y est particulièrement contrôlée.
Pas de lait sans veau !
Comme tous les mammifères femelles, les vaches produisent du lait. Pour ce faire, elles doivent d’abord donner naissance à un veau. La première gestation des génisses, c’est-à-dire des jeunes vaches qui n’ont pas encore vêlé, a généralement lieu quand celles-ci ont environ 2 ans.
La naissance du veau – le vêlage – déclenche la production de lait dans le pis (ou mamelle) qui est constitué de 4 « quartiers » terminés par 4 « trayons ». La lactation, maintenue par les traites quotidiennes, dure 10 mois. La vache est ensuite mise au repos pendant 2 mois.
La traite
Durant la période de la lactation, la traite se déroule le plus souvent à heures régulières, 2 fois par jour (matin et soir), 7 jours sur 7. Elle rythme ainsi la vie de l’éleveur toute l’année. Les vaches apprécient ce moment qui soulage leur mamelle remplie de lait .
La traite est effectuée avec une machine à traire qui peut prendre différentes formes selon les spécificités de la ferme (par les éleveurs en salle de traite ou avec une installation mobile en montagne, ou avec un robot automatique) . Dans tous les cas, le lait est recueilli dans des conditions sanitaires strictes, conformément aux normes françaises et européennes :
- L’éleveur connaît ses vaches. Avant de les traire, il vérifie qu’elles sont en bonne forme en inspectant notamment la mamelle et l’état des trayons. Il examine ensuite minutieusement les premiers jets de lait. Si leur apparence est anormale (grumeaux, couleur inhabituelle…), le lait de l’animal est écarté.
- Le lait destiné aux laiteries provient exclusivement d’animaux sains et en bonne santé. Si la vache est malade, elle est traite pour son confort mais son lait est recueilli à part et détruit.
- Locaux, matériels et ustensiles (tuyaux, cuve…) entrant en contact avec le lait sont consciencieusement nettoyés après chaque traite.
- Le lait, dont la température est de 37 à 38 °C quand il sort du pis de la vache, est conduit via des tuyaux vers une grande cuve réfrigérée, le tank à lait. Il y est aussitôt refroidi et conservé à 4°C (le froid permet de limiter le développement des micro-organismes, d’où l’importance de la chaîne du froid qui ne sera jamais interrompue jusqu’à la vente du produit laitier final).
- Il est alors acheminé à la laiterie dans un délai maximal de 72 heures, via un camion citerne réfrigéré qui se connecte directement au tank : on appelle cette étape la collecte.
Des contrôles qualité stricts et réguliers
L’organisation française favorise la qualité du lait dès sa production à la ferme. Depuis 50 ans, les producteurs sont en effet payés en fonction de la qualité bactériologique et de la composition du lait, avec des critères toujours plus précis et exigeants. Ainsi, dans chaque ferme, à chaque fois que le lait d’un producteur est collecté, l’échantillon de lait est prélevé par le chauffeur du camion de la laiterie et envoyé dans l’un des 14 laboratoires interprofessionnels français du lait. Cela représente plus de 300 analyses par ferme et par an.
On y teste ainsi la qualité sanitaire (germes, cellules somatiques, résidus d’antibiotiques) et la composition du lait (taux de matière grasse, de matière protéique, d’acides gras, l’absence d’eau ajoutée, etc.).
De plus, la plupart des éleveurs vont plus loin que les obligations réglementaires, puisque 95 % des élevages de plus de 20 vaches laitières adhèrent à la Charte des bonnes pratiques d’élevage, ce qui représente 95 % du lait produit en France. Or, la santé du troupeau et la qualité du lait font partie des exigences fondamentales de cette démarche volontariste.
Pour résumé le lait de vache est un produit kasher, car la vache est un animal Kasher. En générale on peut affirmer qu’en France il n’y as aucun problème sur le lait .
Mais Le Lait « CHAMOUR » ou Halav Israel ou encore appellé » super kasher » est par contre un autre produits avec des régles bien établis par nos Grands Rabbins , qui en simplifiant ou en résumant les procedures de réalisation cela veut dire » surveillé le lait depuis le debut la traite a partir d’un tank propre et kasherisé jusqu’a sa collecte, son emballage (lait UHT 1Litre , ou sa transformation en fromage ou produits laitier.
QUI LES RESPECTES CES RÉGLES EN FRANCE ????
A vu du nombre de produits laitiers dans les rayons de magasins kasher, une armée de 250 chomers serait nécessaire, pour avoir du lait « Chamour » en France, ce n’est pas le cas, sachant que pour avoir un vrai chomer et non un ancien chômeur, qui se transforme en délégué rabbinique, sans formation, avec comme simple critère, qu’il soit CHOMER SHABBAT, cela est bien sur important, mais la formation est aussi très important. Aucune école veritable, c’est de l’amateurisme au second degré.En tout cas c’est l’opinion de tous les rabbins d’europe et d’israel.
La france est pays composé de petites fermes avec en moyenne plus ou moins 50 vaches a lait au total 60 000 fermes en 2017 et que pour surveillé une citerne de lait HALAV ISRAEL DE 22000 LITRE DE LAIT, il faudras que l’on surveille une bonne vingtaine de fermes, faisant des calculs: À votre avis, combien de litres de lait par jours produit une vache ? Difficile à dire, hein ? Cela varie selon la race des mammifères (Prim’holstein, Normande, Montbéliarde, Salers, Tarentaise – il existe 30 races différentes en France !), mais on peut dire qu’une vache produit en moyenne 25 litres de lait par jour ! , en deux traites une le matin tôt (vers 5h en général) et une en fin de journée (18/19h). Imaginez les chomers francais un bon matin d’hiver vers 5H du matin a la campagne a -19° en train de surveiller le lait des vaches, 22 000 L divisé par 25l/jour et multiplié par 50 vaches est égale a 17 fermes a contrôler , imaginer le reste: il faut 12L de lait pour 1 kg de fromages, faites le calcul,
on nous ment, on nous trompent, on nous Arnaquent pour une grosse partie des produits EXCITANT sur le marché
Pourquoi ce mensonge par des rabbins ayant pignon sur rue durant 25 ans, l’appât du gain ???, alors que la tendance était sur l’orthodoxie:
kashrute lamehadrine avec bichoul israel, afiat israel, les viandes glatt, halak beth yossef, shritta loubavitch etc …..
Pourquoi cette tromperie sur la qualité substantiel de la marchandises, alors que le CONSOMMATEUR ne le demandé pas
A suivre…..